🌚 Comment Reparer Les Berges D Un Etang

Auprintemps prochain les 4 côtés seront fleuris, ça aidera surement à la stabilisation. Pour tenir tes berges tu plantes des Carex !!! Il n'y a rien de tel pour tenir la terre. Forum d'aide à la conception et à l'entretien des mares et des bassins naturels. Stabilisezles berges de votre étang avec du gravier et des roches propres. PROFONDEUR Les étangs utilisés pour nager ou élever des poissons devraient être plus profonds que ceux aménagés pour les oiseaux aquatiques ou la faune. Les poissons ont besoin d'au moins 3,7 à 4,6 mètres d'eau pour survivre pendant l'hiver. Les étangs de moins de trois mètres de profondeur Choisissez un emplacement pour l'étang d'écrevisses où les températures varient entre 65 et 85 degrés F pendant une grande partie de l'année. Des températures de congélation ne tuent pas plus écrevisses aux États-Unis; ils deviennent inactifs à la place, des terriers sous les rochers ou, plus couramment, parfois dans des terriers de mesure 6 pouces ou plus de profondeur sous l Page1 of 10 - génie écologique - posté dans Le respect de la Nature : Le génie écologique est un ensemble de techniques qui permet de restaurer et/ou maintenir la biodiversité. Cela va du pâturage extensif à la fauche dans une prairie, de la création de pente douce pour les berges d'un étang à l'étrépage des tourbières Ces méthodes développées dans les reserves naturelles Lapatience d'un cyclope sur les berges d'un étang Publié par Philémon Allemange. Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager sur Pinterest. Aucun commentaire: Enregistrer un commentaire. Article plus récent Article plus ancien Accueil. Inscription à : Publier les commentaires (Atom) Membres. Archives du blog 2012 (9) juin (2) 25mai 2012 - Aménage les berges du bassin : les conseils de Rustica pour choisir des arbres, arbustes et vivaces utiles à cet endroit sensible du jardin humide. Pinterest. Aujourd'hui . Explorer. Lorsque les résultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flèches Haut et Bas pour parcourir et la touche Entrée pour sélectionner. Pour les utilisateurs d'un appareil tactile Auprogramme : Après-midi découverte de différentes activités proposées par les associations. Afin de participer et d'accéder à l'ensemble des activités, les visiteurs doivent acheter un passeport 1€ (il est possible d'acheter son passeport avant le jour-J en se présentant à la médiathèque de Condé-sur-Vire le lundi 23 août de 14h à 18h, le mercredi 25 août de 9h30 à Lanature reprend ses droits. Réparer ou renforcer les berges d'un ruisseau, d'un étang, d'une mare, le milieu aquatique. Telle est la vocation de nos éléments de consolidation de berges, en eaux calmes comme en eaux vives. La structure végétalisée est une structure caverneuse à base d'Argex (argile expansée), assimilable par l'environnement et prévue pour l ArmandBertrix, de Landelies, vient donner à manger aux canards près d'un étang et rencontre parfois des ragondins. Pour lui, "ils ont déjà leur place ici. Les berges n'ont jamais bougé et RGYQ. Il serait intéressant qu'un conseil régional de l'environnement réalise dans sa région un relevé de tous les lacs artificiels construits légalement et illégalement depuis l'entrée en vigueur de la Loi sur la qualité de l'environnement LQE au début des années 1970. On aurait des surprises qui expliqueraient bien des déclins et des disparitions d'espèces. La LQE interdit formellement d'intervenir dans un cours d'eau sans un certificat d'autorisation préalablement» au début des travaux. Cette exigence s'accompagne de l'obligation d'effectuer au préalable une analyse des répercussions environnementales des travaux sur le cours d'eau. Une autre loi exige la même chose la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune, ainsi que le règlement sur les habitats fauniques. Celle-là aussi exige une analyse des impacts sur la faune aquatique de tout projet de retenue des eaux des ruisseaux permanents ou intermittents, ainsi que des petites et grandes rivières. Certes, on n'imagine pas que quelqu'un va se lancer dans la construction d'un gros barrage sans autorisation. Mais, malgré ces dispositions expresses des lois du Québec, les étangs, petits lacs et piscines naturelles construits dans les cours d'eau par des retenues plus ou moins visibles se multiplient à un rythme élevé sans la moindre intervention des corps publics, y compris des corps municipaux. C'est l'impunité totale, à moins qu'un citoyen porte plainte officiellement. Et encore. Tout ce beau monde se protège les fesses les municipalités renvoient la balle au ministère, qui la renvoie aux municipalités. Dans la petite municipalité des Laurentides où se situe notre chalet, pour m'en tenir à un cas que je connais, le propriétaire d'une ferme a totalement artificialisé les rives d'un petit cours d'eau, il y a quelques années, pour mieux le retenir d'une part et pour l'aménager à son goût en remblayant les rives, en se creusant un lac et en installant une retenue d'eau. La municipalité, comme le ministère du Développement pas endurable, de l'Environnement et des Parcs, ont fermé les yeux malgré l'érosion invraisemblable enclenchée par le remblayage et le creusage, malgré les impacts de la disparition du milieu humide de l'endroit, malgré le réchauffement qui en résulte pour les eaux du ruisseau. Ailleurs dans la même municipalité, un propriétaire a fait creuser en toute impunité d'importants fossés autour d'un milieu humide dont il a coupé tous les arbres en hiver. En toute impunité là aussi. Trois kilomètres plus loin, il y avait un petit étang à barbottes entouré d'une épaisse aulnaie. Il y a trois ans, les pépines se sont pointées pour nettoyer ses rives et élargir l'étang pour en faire un bô» lac transformé en piscine naturelle». Un autre milieu naturel tué dans l'indifférence générale. La réglementation municipale autorise cela, m'a-t-on dit, remblayage et creusage du cours d'eau compris. Pas mal comme ineptie collective, n'est-ce pas? À quatre kilomètres de là, un autre propriétaire a entrepris, il y a un an, de creuser un vaste lac derrière sa maison en coupant un autre ruisseau pour le retenir avec une digue. Je pense que le ministère est intervenu à cause d'une plainte dans ce cas, mais pour l'instant, le dégât n'a pas été réparé après plus d'un an. Tout cela dans une seule et même petite municipalité bien typique par son absence de politique environnementale pour les écosystèmes les plus fragiles. C'est ce genre de municipalité et de MRC qui, contrairement à d'autres, comme Saint-Donat, respecte encore le droit acquis de polluer avec des semblants de fosses septiques et des berges dénudées en contravention des règles de protection riveraine. Ces étangs artificiels ont toutefois un avantage ils servent de trappe à sédiments pour tous les champs agricoles et les terrains gazonnés, jusque dans l'eau qui se trouvent en amont. Mais c'est une bien maigre consolation que de devoir s'en remettre à des ouvrages illégaux pour protéger ce qui reste de ruisseaux vivants au Québec. En réalité, il y a pire que ces interventions. En effet, les ministères se limitent souvent à émettre un constat d'infraction, qui ne coûte rien au contrevenant. Et les fonctionnaires vont jusqu'à proposer au contrevenant de leur adresser rapidement une demande d'autorisation pour légaliser l'illégalité après coup, une véritable prime au défi de la loi. Il ne manque que la subvention sous prétexte de créer des emplois! Quant aux municipalités à qui Québec a confié des responsabilités environnementales de plus en plus grandes, la plupart n'ont aucun règlement pour mettre fin à cette destruction des milieux et des espèces aquatiques, se contentant généralement d'exiger un permis de remblayage, qu'on accorde libéralement. Comme elles ne veulent pas investir d'argent dans des poursuites qui ne rapportent guère, elles laissent faire et ferment les yeux c'est plus agréable pour le maire, les conseillers et les inspecteurs que de devoir rentrer dans le confort des cousins, voisins ou parents de toutes sortes de leur milieu. En fin de compte, c'est encore l'environnement et les espèces qui vont casquer, qui vont devoir assumer par des déclins accrus cette incurie, voire cette ineptie qui détruit à petit feu le caractère naturel de nos villages. Mais à voir ces mêmes villages s'orner d'enseignes commerciales, se laisser dénaturer par l'arrivée des grandes chaînes et des multinationales du pétrole, de la malbouffe et de l'auto, on se dit que les vrais poissons ne sont plus dans les ruisseaux... *** Activités - Le samedi 6 juin, c'est la Journée nationale des sentiers. On s'équipe de sécateurs, de gants, de sciottes et de pelles pour restaurer son sentier préféré. - Les 12, 13 et 14 juin, ce sera la Fête de la pêche. Tous peuvent alors pêcher sans permis dans les endroits autorisés. On peut consulter le programme sur le site Internet du MRNF, *** - Lecture Attirer la faune au jardin, par Albert Mondor et Daniel Gingras, Éditions de l'Homme, 317 pages. À l'heure des gazons artificiels et des pesticides étasuniens saupoudrés en cachette, ce livre est vraiment rafraîchissant avec ses stratégies pour ramener la vie dans nos jardins. Insectes, papillons, grenouilles, chauve-souris, coccinelles, mantes religieuses et autres petits vivants peuvent être attirés dans votre jardin pour maintenir son équilibre de façon naturelle avec les insectes ravageurs non désirés. Pour une nouvelle culture du vivant! À voir en vidéo Télécharger l'article Télécharger l'article Bien que les mauvaises herbes et les algues de lac aient de nombreux avantages, leur prolifération extrême peut causer plusieurs problèmes. Lorsqu’elles couvrent plus de 25 % de la surface du lac, elles sont considérées comme une végétation dense [1] . Cela peut interférer avec les loisirs nautiques, tels que la navigation de plaisance ou la natation. Elles interfèrent également avec la pêche en produisant un mauvaise odeur et gout dans l’eau. La chose la plus importante est que la croissance dense des mauvaises herbes peut entrainer la mort d’une multitude de poissons, car elles réduisent, pendant la nuit, l’oxygène qu’il y a dans l’eau [2] . Assurez-vous de prendre les mesures de contrôle appropriées dans votre étang ou lac pour vous assurer que l’environnement aquatique est sûr et prospère. N’oubliez pas que la végétation aquatique représente une partie importante de l’écosystème. Si les algues et les plantes subaquatiques monopolisent votre étang ou votre lac, servez-vous des techniques de contrôle pour rétablir l’équilibre sans enlever toute la végétation. 1 Créez correctement votre point d’eau. De nombreuses espèces d’herbes aquatiques prospèrent lorsqu’elles ont la possibilité de prendre racine dans le sol sous-jacent [3] . Vous pouvez éviter cela si vous créez des rives escarpées, au bord du lac ou de l’étang, qui descendent directement dans les eaux profondes [4] . Pensez à construire des berges avec une pente de 3 m de haut sur 1 m de largeur qui descend à une profondeur de 1,5 m. Cette stratégie empêchera les plantes subaquatiques de prendre racine dans le lac, mais pas les algues et les plantes flottantes libres. 2Rendez votre lac profond. Assurez-vous qu’à son point le moins profond, il conserve une profondeur de 60 à 90 cm [5] . Cette mesure empêchera les herbes de prendre racine si elles continuent à proliférer dans tout le lac ou l’étang. Comprenez que cela ne fonctionnera que pour les plantes enracinées et non pour les plantes flottantes libres ou les algues. 3 Créez une zone tampon autour du lac. La cause de la prolifération des mauvaises herbes dans un lac est généralement l’abondance de nutriments dans le sol environnant. Le ruissèlement d’engrais dans le sol nourrit ces herbes et les fait pousser en abondance. Créez une zone tampon riveraine en plantant 30 m d’arbres ou de plantes naturelles entre la terre fertilisée et le lac pour éviter le ruissèlement. Choisissez des plantes qui empêchent l’érosion et ne nécessitent pas l’application de produits chimiques. Si vous avez du bétail, les nutriments contenus dans leurs aliments et leurs excréments pourraient pénétrer dans les eaux de ruissèlement et provoquer la prolifération des mauvaises herbes. Pensez à construire une clôture autour de votre bétail ou éloignez-les du bord du lac à une distance de 30 m [6] . 4 Soyez proactif. Dès que vous remarquez un important problème de mauvaises herbes, gérez cela au plus vite. Une prolifération continue entrainera des problèmes plus graves. Plus vous les laisserez grandir, plus cela vous coutera cher et il vous faudra plus de temps pour résoudre le souci plus tard. Si vous voyez de nombreux canards ou des animaux qui se nourrissent de poissons autour du lac, vous feriez mieux de prendre des mesures pour réduire leur présence, car leurs excréments contribuent à la croissance des mauvaises herbes. 1 Faites usage d’une barrière benthique. Il s’agit d’un filet aquatique qui s’étend au fond du lac et empêche le soleil de l’atteindre, ce qui tue les mauvaises herbes que le bâchage cible. Ceci est un produit chimique réutilisable qui est sans danger pour les poissons. Une petite croissance des plantes est nécessaire à la santé du lac. Si vous utilisez une barrière benthique, laissez une partie de la zone à découvert afin que la végétation pousse naturellement. Ne couvrez pas le frai du poisson ou les zones où les oiseaux nichent. 2 Enlevez les mauvaises herbes à la main. Vous pouvez facilement couper les herbes lacustres à partir des racines, ramasser les boutures et les retirer de l’étang ou du lac. Vous avez la possibilité de les couper à l’aide d’une faucille ou les enlever avec vos mains, puis les retirer de l’eau avec des houes ou des râteaux [7] . La majorité des mauvaises herbes aquatiques sont vivaces, ce qui signifie qu’elles continueront à pousser tout au long de la saison à cause de leur racine qui se trouve dans l’eau. Vous devriez les arracher à partir de la racine afin de les contrôler de façon appropriée [8] . 3 Utilisez des dispositifs pour éliminer les mauvaises herbes. Vous pourriez avoir besoin d’un appareil sous-marin ou à moteur en fonction de la taille du lac ou de l’étang et des herbes que vous souhaitez retirer. Le fait de désherber votre mare à la main peut être une tâche fastidieuse, car ces plantes repoussent très vite. Un appareil aquatique motorisé peut aider à couper les mauvaises herbes qui sont sous l’eau, comme les myriophylles et les nénufars [9] . Il existe également des faucheuses sous-marines qui rassemblent les herbes pour les éliminer. Les appareils motorisés laissent habituellement des fragments d’herbes coupés dans l’eau. Il est possible que de nouvelles mauvaises herbes poussent à partir de ces restes, alors soyez prudent lorsque vous les enlevez de cette manière [10] . Dans le cas des algues de surface qui se trouvent dans de plus petites masses d’eau, les pompes à eau feront circuler la couche supérieure de l’eau pour empêcher la saleté des algues de se déposer. Le contrôle mécanique des mauvaises herbes aquatiques peut être comparé à la tonte de la pelouse. Ces machines vont couper les herbes, mais il ne s’agit que d’une solution temporaire [11] . 4Draguez le lac et rendez-le plus profond. Si le problème des mauvaises herbes est sérieux et qu’elles couvrent plus de 25 % de la surface du lac, pensez à draguer et à le rendre plus profond. Cela permettra d’éliminer les mauvaises plantes présentes et la couche de sédiments du fond, ainsi que les nutriments sous-jacents qui entrainent leur prolifération. Le dragage et l’approfondissement de la mare permettront de découvrir une couche de sol contenant peu d’éléments nutritifs, de réduire la quantité de lumière solaire à laquelle les herbes sont exposées et de les empêcher de prendre racine [12] . 1 Choisissez le bon herbicide. Vous devriez identifier la mauvaise herbe bien avant d’acheter l’herbicide. Différents types et espèces nécessitent des produits différents. Si vous ne savez pas exactement le type d’herbe qui est dans votre étang, contactez le bureau de vulgarisation agricole de votre localité ou un vendeur d’herbicides afin de vous assurer d’en acheter un qui est efficace [13] . Assurez-vous de comprendre les effets et les implications de l’application d’un herbicide avant de le faire. Lisez l’étiquette du produit pour prendre connaissance des restrictions et du temps d’attente pour naviguer en bateau, nager et pêcher après l’application. Cela pourrait être un facteur important lors du choix d’un produit [14] . L’herbicide se présente sous forme liquide et solide grains ou aérosol. Pour le contrôle des algues, pensez à utiliser des sulfates ou des chélates de cuivre, tels que Cutrine Plus. Vous pouvez appliquer ce produit directement dans la zone infestée conformément aux instructions figurant sur l’étiquette [15] . Dans le cas de plantes aquatiques telles que les potamogétonacées et les plantes flottantes libres comme la lentille d’eau, pensez à utiliser le fluridone ou le diquat. Les plantes flottantes avec des racines comme les nénufars et les plantes émergentes comme les massettes sont mieux traitées avec le glyphosate [16] . Vérifiez les règlementations de votre localité ou ville avant d’utiliser des herbicides dans une masse d’eau. Des autorisations sont requises pour certains types d’applications. 2 Utilisez-les dans les bonnes conditions. Il est préférable d’utiliser les herbicides à la fin du printemps lorsque les plantes sont plus jeunes et plus faibles. Si vous attendez la fin de l’été lorsque la végétation est dense, vous risquez de faire mourir de nombreux poissons en épuisant tout l’oxygène en même temps [17] . Faites usage de ces produits lorsque la température de l’eau est proche de 20 °C. Les herbicides ne fonctionnent pas bien lorsque l’eau est très froide [18] . 3 Appliquez la bonne dose. Veillez à utiliser la dose appropriée lors de l’application de l’herbicide. L’étiquette du produit décrira comment calculer la dose. Elle est souvent mesurée en mètres carrés, ce qui peut être déterminé en multipliant la superficie de la zone par la profondeur moyenne. Ensuite, l’étiquette vous indiquera la quantité à appliquer en fonction de cette mesure [19] . N’utilisez jamais une dose supérieure à celle indiquée sur l’étiquette [20] . 4Appliquez-les à nouveau, si nécessaire. Vous devriez réappliquer l’herbicide dans les années à venir. Le produit n’affecte pas les semences sous-jacentes et elles sortiront donc l’année suivante malgré le traitement initial. N’oubliez pas de le réappliquer au printemps pour combattre les mauvaises herbes qui sont restées latentes en hiver [21] . 1Vérifiez les règlementations de votre localité. Vous aurez peut-être besoin d’une autorisation du bureau de la faune ou de l’agriculture de votre localité en fonction du type de produit biologique que vous allez utiliser. Certains types capables de lutter contre les mauvaises herbes lacustres sont considérés comme envahissants dans certaines régions, ce qui fait que vous ne pourrez peut-être pas les y introduire. Renseignez-vous toujours sur les lois qui régissent l’utilisation de ces moyens dans votre région avant d’introduire un nouvel animal ou poisson dans le lac [22] . 2Apportez des cygnes au lac. Des cygnes tuberculés peuvent être libérés dans les petits lacs. Étant donné qu’ils se nourrissent d’algues et de plantes sous-marines, ils seront idéaux pour contrôler la végétation. Sachez qu’ils nécessitent un soin particulier, un élevage et une protection contre les prédateurs [23] . 3 Libérez des carpes de roseau dans le lac. Aussi connues sous le nom de carpes chinoises, elles se nourrissent des plantes subaquatiques. Elles sont souvent introduites dans les lacs pour contrôler la végétation. Comprenez qu’une carpe herbivore va manger presque toutes les plantes subaquatiques et non seulement les espèces envahissantes ou les mauvaises herbes. Cette espèce de poisson ne sera pas d’une grande utilité contre les wolffia et les lentilles d’eau. Il est recommandé de libérer entre 15 et 30 poissons par demi-hectare. Procurez-vous des carpes d’au moins 25 à 30 cm de long [24] . La carpe de roseau peut être envahissante. Vérifiez les lois de votre localité pour vous assurer que vous pouvez les utiliser comme méthode de contrôle biologique avant de les relâcher dans votre lac. 4 Recherchez des insectes qui pourraient être utiles. Si vous avez envie de combattre une herbe spécifique, vous pouvez envisager l’utilisation des insectes comme une forme de lutte biologique. Vous devriez trouver des insectes spécifiques à l’hôte, cela implique le choix d’une espèce qui ne mange que l’herbe que vous voulez éliminer. Faites des recherches sur l’herbe en question pour voir si n’importe quel type d’insecte pourrait être utile. Vous pouvez également contacter le bureau de la faune ou de l’agriculture de votre localité, l’entité qui contrôle la croissance des herbes nuisibles ou un écologiste. Ne relâchez pas des insectes qui ne sont pas indigènes tant que vous n’êtes pas certain qu’ils ne mangeront que la plante en question et qu’ils n’auront pas d’autre impact sur l’écosystème local. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 10 455 fois. Cet article vous a-t-il été utile ? Établir un étang chez soi ne se fait pas à la légère. Non seulement il faut de la place, des moyens, mais l'on doit également s'assurer que l'on ne contrevient pas à la législation en vigueur tout en étant vigilant à ce que cette pièce d'eau aux dimensions raisonnables soit sécurisée. De plus, l'entretien d'une telle installation exige une gestion rigoureuse de l'espace aquatique comme des alentours.' Un étang densement planté est du plus bel effet. Photo Firestone Sommaire 1 Préambule 2 Le choix du site 3 Le chantier 4 Excavation Etang de barrage . Etangs creusés. Fossés de vidange de l'assiette de l'étang Berges 5 Mise en eau de l'étang 6 Vidange 7 Le rejet 8 Législation 9 Glossaire 10 Notes et références 11 Bibliographie Préambule Au préalable, il convient de définir ce qu'est un étang. Parmi les descriptions les plus courantes, on retiendra qu'il s'agit d'une étendue d'eau de faible profondeur, généralement stagnante, située dans une cuvette naturelle ou creusée par l'Homme. Si l'on se réfère aux ressources lexicales expertes, l'étang se distingue ainsi du lac par sa faible profondeur et des dimensions moindres. Cependant, il est à noter que certaines étendues d'eau sur les cartes géographiques reçoivent le nom officiel d'étang alors qu'il s'agirait plutôt de ... lacs ! De quoi ajouter un peu plus à la confusion. Afin de ne pas égarer le lecteur, il ne sera donc question ici que des pièces d'eau qui répondent à la première description donnée en préambule. La création forme, profondeur, végétation.. tiendra compte des problèmes d'entretiens, la végétalisation des berges et des digues ira de pair avec la mise en place des plantes aquatiques tels des roseaux, iris et joncs. On veillera à prévoir l'aération de l’étang Aérateurs gravitaires, Aérateurs de surface, Matériels de compression, Oxygénateurs, Diffuseurs... L'étude de faisabilité est indispensable avant de commencer tout projet et toute démarche. Le choix du site Le choix de l'emplacement se fait selon les critères suivants. L'alimentation, en eau de bonne qualité richesse en nutriments, azote, phosphore…, non soumise à restriction et constante, se pratique de préférence par gravité afin de compenser les pertes par infiltration et à l'évaporation. L'exploitation d'eaux de source, d'eaux souterraines nappes phréatiques, doit être étudiée avec beaucoup de prudence pour ne pas fragiliser d’autres milieux naturels. On privilégiera ainsi une prise au fil de l'eau ou un seuil, voir un barrage s'il n'a qu'un impact moindre sur le biotope. La qualité des sols argile sableuse, limon argiIo- sableux et limon argileux est également importante. On évite les affleurements rocheux, gravier, grès, sols calcaires, sols sablonneux, termitières, etc. Le sous-sol doit être aussi homogène et imperméable que possible sous peine de nécessiter la mise en œuvre de méthodes d'étanchéification. Il ne faut pas négliger l'aptitude de la topographie du lieu. Le site doit être non inondable et autorisant un drainage des eaux par gravité pente de moins de 5%. On privilégie un site qui engage des travaux de terrassement réduits et où il sera possible d'équilibrer les volumes des déblais et des remblais. Le relief et l'environnement définissent les contraintes. Viennent enfin les usages qui seront faits de l'étang et qui contribuent bien sûr à la sélection de l'emplacement loisirs pêche, baignade ... pour lesquels on aménagera l'espace avec des zones plus ou moins profondes, des pentes plus ou moins douces. Le chantier On commence par délimiter la zone de construction par des piquets en bois, des cordages et une zone de travail et de passage de 3 m au-delà des digues. Ensuite, il faut débroussailler, défricher la végétation, les arbustes, les arbres y compris des racines ligneuses et des souches et retirer toutes les grosses pierres sur la zone totale étendue à 10 m tout autour. On délimite au centre de cette zone la surface occupée par l'étang jusqu'aux limites extérieures des digues de l'étang. On procède à l'excavation, c'est-à-dire l'extraction de la couche de terre végétale. - Pour cela, on l'ameublit en la labourant avant de la retirer 5 cm à 1 m selon localisation sur toute la surface de l'étang, y compris les digues. - Cette terre est entreposée à proximité. On pourra ensuite utiliser ce sol organique riche soit en revêtement du sommet et de la paroi sèche des digues, soit en revêtement du fond de l'étang pour en accroître sa fertilité. On trace à l'aide d'une ficelle épaisse ou d'une corde les limites intérieures de l'étang hors digues. On va piqueter le fond de l'étang en indiquant sur chaque piquet les hauteurs à creuser. Excavation Etang de barrage . La présence d'une digue permet d'empêcher le déversement d'eaux pluviales qui pourraient apporter divers éléments toxiques dans l'étang. Illustration Marie - Forum-Bassin L'imperméabilité de la digue sera assurée par une terre argileuse et/ou une barrière d'étanchéité tranchée de 50 cm de large, profonde jusqu'à 20 cm sous la couche imperméable, creusée à l'aplomb de l'axe de la digue. La hauteur de la digue dépendra de la profondeur souhaitée minimum 0,6 m pour un sol argileux ; on doit prévoir 20% de tassement des déblais et de surface de l'étang poussée. Exemple surface étang 200m2 - profondeur 0,8m = Hauteur 1m, Largeur sommet 0,8 , base 4m surface étang 1000m2 - profondeur 1,3m = Hauteur 1,8m, Largeur sommet 2m, base 9m La pente de la digue coté étang 25%, côté sec 30% à plus. Elle doit comporter une revanche » minimale de 0,40 mètre au-dessus des plus hautes eaux. Aucune végétation ligneuse ne doit y être maintenue. Pour limiter le tassement, la digue sera construite par tranche de 15 cm mouillée et tassée. Etangs creusés. Ces étangs sont réalisés par simple excavation du sol, alimentés par les eaux de pluie et de ruissellement fond plat drainé par une dépression naturelle ou alimentés par des sources ou des infiltrations nappe phréatique proche de la surface. On doit creuser à la verticale jusqu'à la profondeur prévue, dans les limites fixées pour l'étang. Le fond de celui-ci ne doit pas atteindre la surface de la nappe phréatique, ce qui interdirait toute possibilité d'assec. Fossés de vidange de l'assiette de l'étang Le fond d'un étang qui puisse être vidangé doit avoir une pente de 1 % depuis le côté où l'eau arrive jusqu'à sa sortie pour assurer un assèchement facile et complet Lorsque la pente de l'assiette est insuffisante grands étangs, étangs de barrage ... , on peut creuser un réseau régulier de fossés de drainage 30 cm x 30 cm, rayonnant ou disposés en arêtes de poisson » à partir du dispositif de vidange-fosse de capture pente 0,2%. Berges On profile les côtés de l'étang suivant les pentes voulues. On utilise les déblais pour la digue, on étale les surplus autour de l'étendue d'eau en pente douce hauteur maximum 1 m ou encore on constitue un tas à partir de 4 m minimum de l'étang pente de 15°. Il faut rapporter la terre végétale pour recouvrir les déblais et le sommet des digues, planter du gazon pour limiter l'érosion. On ne doit jamais planter d'arbustes dont les racines affaibliraient les digues. Des graminées vivaces rhizomes ou stolons se développent rapidement et sont une bonne protection. On végétalise rapidement les berges afin d'éviter l'installation inopinée de plantes invasives. Mise en eau de l'étang La prise d'eau permet l'alimentation de l'étang. Illustration Marie - Forum-Bassin On procède à des mises en eau partielles de 0,40 cm. Il faut donc agir lentement afin de vérifier l'état des digues et éventuellement réparer les fissures à mesure qu'elles apparaissent. Il faut alors compacter, vider puis laisser passer plusieurs jours. On répète l'opération remplissage/vidange de 40 cm en 40 cm tant que les problèmes subsistent. Un canal ou fossé de protection, devra protéger l'étang des eaux de ruissellement qui souvent turbides, voire chargées de substances toxiques tels que les pesticides. La prise d'eau sera combinée à un ouvrage prévu dans le canal de dérivation qui doit acheminer le précieux liquide jusqu'à l'étang par gravité et jusqu'au point le plus élevé possible. Il permet de réguler l'approvisionnement en eau. L'ouvrage peut être réalisé en parpaings ancrés dans les berges du canal et dans les rainures où s'insèrent des planchettes amovibles en bois imperméabilisé par des chambres à air ou encore des plaques plastiques. L'ouvrage, ne devant pas bloquer complètement l'eau, n'a pas besoin d'être 100% étanche. On peut aussi le protéger d'éventuels débris par une protection en gabions en amont du cours d'eau. Il faut cependant faire attention à ce qu'il ne soit pas un obstacle à l'écoulement des crues. Dans le cas d'un étang alimenté en amont par un cours d'eau et se rejetant en aval dans ce même cours d'eau, il convient d'interdire le passage du poisson tant en amont qu'en aval. Le dispositif de prélèvement des eaux doit être réalisé de façon à pouvoir réguler le débit entrant dans la limite du prélèvement autorisé et à pouvoir l'interrompre totalement. Ce dispositif devra également maintenir dans le cours d'eau un débit minimal garantissant en permanence la vie, la circulation et la reproduction des espèces vivantes. Le niveau du fond d'un canal d'alimentation doit de préférence se trouver à au moins 10 cm au-dessus du niveau normal de l'eau de l'étang pour permettre une mise en assec complète. On élabore une pente très faible avec une longueur la plus courte possible afin d'éviter les pertes par infiltration. La construction peut être en argile, en béton ou même en terre... Elle doit avoir une forme trapézoïdale, d'une profondeur de 20 à 50 cm plus importante que le niveau d'eau courant. Vidange L'étang peut également être un moyen d'accueillir des carpes koï qui apprécient les grands volumes d'eau. On note ici la présence de cordes qui vont empêcher la prédation des hérons. À l'avant-plan, les laitues d'eau Pistia stratiotes forment un couvert végétal apprécié mais il s'agit de plantes gélives qui ne passeront pas l'hiver en extérieur sous nos latitudes. Photo Christine27 - Forum-Bassin La vidange de l'étang peut être prévue par un tuyau enterré sous la digue côté opposé à l'alimentation d'une légère pente sortie 10 cm plus bas que le fond de l'étang, muni d'une vanne à la sortie pour une étanchéité parfaite. La prise d'eau à l'extrémité du tuyau d'évacuation dans l'étang peut être réalisé par un moine >> 1>. Le tuyau sera fixé dans deux blocs de béton dans la digue. Le moine >> reposera sur une base béton et assurera la gestion du niveau de l'eau. Il évitera le départ de flottants, suivi d'un filtre à graviers avec une section adaptée pour permettre à toute l'eau rejetée de transiter par ce filtre pour un débit de rejet inférieur à 10 1/,s, sauf si les eaux se perdent et ne sont pas en relation avec un cours d'eau naturel. Un déversoir trop-plein intégré à la partie supérieure de la digue dans un angle à 15 cm en dessous du niveau d'eau maximale, sortie au niveau de l'eau maximale assurera l'évacuation des quantités d'eau excédentaire, évitant tout débordement susceptible de noyer et détruire les digues. Ce peut être le haut du moine » si celui-ci est étanche tuyau vertical de prise d'eau avec des vannes d'entrée à différentes hauteurs Le diamètre des tuyaux d'évacuation dépendent du volume d'eau 10 cm = 29 m3/h, 15 cm= 65 m3/h, 20 cm= 112 m3/h. Le rejet Les eaux restituées au ruisseau naturel ne doivent jamais réchauffer ses eaux de plus de 0,5 °C en période sèche entre le 15 juin et le 15 octobre en France. De plus, les eaux rejetées doivent être dans un état de salubrité et de pureté proche de celui du cours d'eau naturel. Législation Selon son mode d'alimentation en eau, son positionnement par rapport au cours d'eau, la hauteur de ses digues, sa surface, sa destination, la création de plans d'eau peut être soumise à différentes rubriques de la loi sur l'eau, voire à différentes réglementations POS PLU, SDAGE, SAGE, article du Code Forestier, Code de l'environnement CE, Code de l'Urbanisme, Code de la Santé Publique, Règlement Sanitaire Départemental. .. Certaines Installations, ainsi qu'Ouvrages, Travaux et Activités IOTA sont soumis à autorisation ou à déclaration. Pour simplifier Si la surface du plan d'eau que l'on désire creuser est supérieure à 100 m2 et si la profondeur est supérieure à 2 m, une autorisation doit être demandée à la mairie au titre des{ installations et travaux divers ». Pour une surface comprise entre 1 000 m2 et 3 ha, il faut une déclaration auprès de la MISEMission Inter-Services de l'Eau. Si la surface est supérieure à 3 ha, c'est alors une demande d'Autorisation auprès de la MISE. Par ailleurs sera soumis à déclaration ou autorisation - Si le projet touche un cours d'eau. - Si il y a assèchement, remblais de zones humide. - Si le projet se situe sur une parcelle boisée. Il convient de se rapprocher de sa mairie pour connaître la procédure à suivre et vérifier la cohérence du projet avec les règlements d'urbanisme. Glossaire 1 Moine structure bétonnée en U » qui comprend une grille à barreaux verticaux, puis un dispositif permettant d'ajuster le débit d'entrée avec des planchettes amovibles sur la face ouverte du U pour les diverses hauteurs des prises d'eau. La largeur de ce moine » et sa profondeur en arrière des planches sont égales à deux fois le diamètre de la buse d'évacuation. Notes et références Article publié dans le numéro 10 de la revue "Bassins de Jardin" Toute contribution à cet article peut être apportée dans le forum Plan d'eau Création Bibliographie Guides pratiques pour la création d'étangs. Textes relatifs en Belgique Rubriques nomenclature Loi sur l’eau » article R214-1 du code de l’environnement format pdf - ko - 25/09/2008, avec lien vers les arrêtés ministériels Exemples de guides en référence en Isère. Consultez la MISE de votre localité. Fiche pour le signalement de projet toutes rubriques format pdf - ko - 04/03/2011 Fiche de signalement d’un projet de plan d’eau format pdf - ko - 12/03/2009 Rubrique Guide pour l’élaboration des dossiers "loi sur l’eau" rubrique - Rejets d’eaux pluviales format pdf - ko - 12/10/2009 version du 29 avril 2010 Exemple Mission Interservices de l'Eau Charente format pdf - 2277 ko version de 01 Janvier 2010

comment reparer les berges d un etang